Les petits livres pour dire non aux violences sexuelles

Editions Bayard

Les éditions Bayard vous propose cette série d’albums et BDs disponible gratuitement en téléchargement. Pour en savoir plus 

Livret “Mon corps est un trésor” pour les enfants de 3 à 7 ans

« Pour bien grandir, un enfant a des besoins fondamentaux, dont celui d’être protégé. Avec ce livret, Bayard Jeunesse vous propose un outil tout simple pour parler du corps avec votre enfant (3-7 ans). Bien connaître son corps, identifier ses besoins mais aussi ce qui lui fait du mal ou n’est pas normal : voilà tout ce que vous aborderez en lisant ensemble ces quelques pages. Il saura ainsi qu’il peut parler avec vous de son corps en toute confiance. »

Livret “Stop aux violences sexuelles faites aux enfants” pour les enfants de 7 à 13 ans

« Parler des violences sexuelles à un enfant est difficile pour tout le monde. Elles sont souvent si inimaginables qu’on ne pense pas nécessaire de l’évoquer devant ses enfants, espérant les protéger de certaines réalités abjectes du monde des adultes. Et pourtant… en parler, c’est réellement les protéger, en les aidant : à reconnaître les situations où des adultes ne se comportent pas comme ils le devraient avec un enfant ; à s’adresser à une personne de confiance s’ils ont déjà perçu des signaux de danger dans le comportement de telle ou telle personne ; à rompre le silence s’ils ont été victimes de tentatives d’attouchements ou d’agression, voire s’ils ont été victimes de violences sexuelles ; à oser dénoncer des adultes supposés ”de confiance”, qui peuvent malheureusement appartenir à l’entourage proche, voire au cercle familial.

Livret “Stop aux violences sexuelles” pour les plus de 14 ans

Il nous paraît aussi nécessaire de parler de ces violences sexuelles : car informer, c’est la première étape pour prévenir ces violences, les détecter, les dénoncer et les combattre. Ce livret destiné aux plus de 14 ans regroupe aussi les informations pour trouver de l’aide, qu’on soit victime, qu’on connaisse une victime ou qu’on s’inquiète pour un·e ami·e. »